Elettra (Idomeneo), Festival d’Aix, July 2022
Platea Magazine
“Quizá la voz más impactante de toda la representación fue la de Nicole Chevalier. La soprano americana, que conoce perfectamente el papel y al que el director de escena es la única que le permitió cantar a pie de escenario, demostró su valía tanto como cantante como actriz. Su voz es carnosa, con un timbre bello y que domina toda la tesitura con soltura. Todas sus intervenciones fueron de lo más aplaudido de la noche (también al final) pero habría que destacar una excepcional versión de Oh smania, oh furie!-D’Oreste, d’Ajace ho in seno i tormenti, que casi cierra la obra y que Chevalier cantó con una garra y una fuerza inédita en el resto de esta versión. Bravísima.”
Crescendo Magazine
“Elletra, elle, qui n’est pas sur une colonne, est une femme en révolte, proche en cela des « enfermés d’en bas ». Une femme de chair -« de la même taille que nous », pour reprendre les propos du metteur en scène- qui crie, qui hurle ses émotions et ses colères. Nicole Chevalier l’intensifie dans toute son humanité « ordinaire ».”
RTBF
“Musicalement, le résultat est splendide, riche en contrastes de tempi et d’intensité, riche en réalisation sonore (pianoforte et violoncelle, mais aussi une contrebasse pour le continuo) et riche en ornementations des solistes. Et quels solistes ! (…) ou Nicole Chevalier, bouillante Elettra.”
Sceneweb
“Seule Nicole Chevalier qui fait en Elettra ses débuts au festival se montre pleinement habitée dans un air de fureur hallucinant d’aplomb”
NewsInFrance
“Only (…) or Nicole Chevalier’s vehement Elettra, priestess of the night and revenge, give Mozart the life that Raphael Pichon unfolds so sensitively and thrillingly at the head of his Pygmalion ensemble”
Le Monde
“Seuls l’Arbace (…) ou l’Elettra véhémente de Nicole Chevalier (…) rendent à Mozart cette vie que Raphaël Pichon déploie”
Operawire
“It is often the case, given the nature of Elettra’s arias, that the singer playing the role receives the loudest applause from the audience during the performance. And Chevalier certainly did not waste the opportunity, for which she was enthusiastically rewarded for what was an emotionally strong presentation, both from a singing and acting viewpoint. She used her voice with intelligence and skill over her entire range, moving from passages of delicacy to fiery outbursts with ease, thereby brilliantly capturing Elettra’s extreme emotional states, while displaying an impressive level of vocal versatility and control. Her final aria “Ah! Smania… D’Oreste d’Aiace,” obviously stood out, in which she let rip with a blistering emotional explosion, full of coloratura raging and vocal effects”
Bachtrack
“mit der Sängerin dieser hochdramatischen Rolle hätte man für diese Inszenierung kaum eine bessere Sängerin als Nicole Chevalier finden können. Mit furiosem Ausdruck und durchaus scharfen Spitzen gestaltet sie diese Rolle rein musikalisch dennoch klangschön: höchste Dramatik und perfekte Stimmkultur in einem”
ForumOpera
“Lorsque Nicole Cavalier, fidèle à la promesse de son Elettra salzbourgeoise, concilie la mélancolie de « Idol mio » et la rage écumante de « Oh smania ! Oh furie » en un soprano possédé dont la largeur n’entrave ni la pureté, ni la nuance”
ConcertClassic
“Du côté des solistes, la seule qui bénéficiait d’une présence active sur le plancher des vaches, c’était l’Electre de Nicole Chevalier qui en a bien profité, se taillant un beau succès aux saluts”
ResMusica
“On ne s’étonnera pas que Nicole Chevalier (Ellettra), seule interprète autorisée à un jeu théâtral, puisque non perchée et ne participant pas véritablement au drame, soit celle qui recueille précisément la plus large ovation au moment des saluts, tant par son engagement scénique que par la qualité exemplaire de sa prestation vocale”
OperaGazet
“Nicole Chevalier, hagarde, hallucinée, assure avec maestria l’explosion de haine finale, son récitatif prodigieux d’intensité « O smanie ! O furie ! » puis l’air furieux et les battements saccadés de la rage « D’Oreste, d’Ajace », véritable grand air de la folie avec sa cascade de rires hystériques comme les derniers feux d’une haine jetée à la face des hommes et des dieux”
Les Echos
“le tempérament volcanique et la virtuosité conquérante de la soprano américaine Nicole Chevalier”
Tagesspiegel
“Aus dem toll besetzten Ensemble (…) ragen heraus der fabelhafte Michael Spyres in der Titelrolle und Nicole Chevalier als Gift spritzende Elettra”